vendredi 11 juin 2010

La bourgeoisie des sensations (Calogero)

Il y a toi et moi et le désir que t'as pour elle.
Le
problème, c'est que je ne sais plus pour qui d' nous deux tu te fais belle.
Tu dis que mon amour reste mais que tu te sens infidèle.
Ça se voit tout de suite que, malgré toi, ses airs de femme te donnent des ailes.


Tu dis que tu vis la bourgeoisie des sensations.
Jamais choisir entre homme et femme, ça a peut-être du bon.
Le truc qui cloche chez moi, c'est qu' mon cœur est à toi.
Et d' te savoir nue dans ses bras, j' supporterai pas.

C'est vrai que j'ai choisi de t'aimer sans savoir.
Si de l'homme ou la femme le corps tu voulais avoir.
C'est vrai que je t'ai aimée toujours sans faire d'histoires.
Sans chercher de pourquoi mais je gardais quand même espoir.
J'étais le premier gars et, au fond, j'aimais ça.
Penser qu'avant moi dans ton cœur.
Aucun homme n'avait fait des dégâts.
Mais j' n'aurais jamais cru qu'une simple histoire de cul.
Allait menacer tous ces projets qu'on avait en vue.

Tu dis que tu vis la bourgeoisie des sensations.
Jamais choisir entre homme et femme, ça a peut-être du bon.
Qu'elle te fasse de l'effet, ça, je n' te changerai pas.
Entre elle et moi... faudra faire un choix.

1 commentaire:

Kavunakis a dit…

Superbe galerie !!! Comme tjrs tu es épatant !